1. Moins c’est mieux
« La perfection est atteinte non pas lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter, mais lorsqu’il n’y a plus rien à retirer » Antoine de Saint-Exupéry
Chaque chose que tu ajoutes dans ton business a un coût caché : ça te prend du temps, de l’énergie, de l’attention. Ces ressources sont précieuses et limitées.
La plupart des entrepreneurs pensent avoir besoin de rajouter : plus d’outils, plus d’offres, plus de canaux d’acquisition, plus de prestataires, plus de stratégies — alors qu’ils ont besoin de faire exactement l’inverse : retirer.
Accumuler de la complexité dans ton business ralentit ton travail, te pousse à procrastiner et t’épuise mentalement. , augmente les frictions, te pousse à procrastiner et t’éloigne de l’essentiel : créer, vendre, servir.
Tu bosses plus… pour moins de résultats.
Tu es créateur, pas technicien !!
2. Revenir à l’essentiel
3. Le fond prime sur la forme
La seule chose qui compte, c’est ton message. Si les gens comprennent ton idée, s’ils sont touchés ou aidés, alors le job est fait. Même si c’est flou, même si tu bafouilles, même si c’est moche visuellement, on s’en fout : le fond est passé.
4. La confrontation au réel
Le seul véritable échec, c’est l’inaction. Ce que les autres appellent “échec” est une précieuse leçon de la réalité, une information qui t’aidera à prendre de meilleures décisions.
Le perfectionnisme est le pire ennemi du créateur minimaliste. Et la confrontation au réel est la meilleure manière d’écraser ce perfectionnisme paralysant.
Publier du contenu, c’est comme lancer un produit. Ton idée ne doit pas être parfaite du premier coup. Tu lances un MVP (Minimum Viable Product) de ton idée — une première version imparfaite mais fonctionnelle, juste pour la confronter au marché.
C’est pareil avec une idée de vidéo, de post, de projet : tu la publies en version brute, tu observes les retours, tu ajustes, tu recommences. Chaque version te rapproche de quelque chose de plus solide, plus impactant. C’est l’itération qui fait grandir ton idée.
À l’inverse, si tu restes enfermé dans ta tête à vouloir la version parfaite… tu ne lances rien. Comme une startup qui ne sort jamais son produit parce qu’elle veut tout peaufiner. Résultat : tu restes invisible.
La clarté vient de l’action. Pas de la réflexion stérile. C’est en publiant en mode rapide et sale que tu forges tes meilleures idées et méthodes.
Le labyrinthe créatif
Tu as une bonne idée, tu veux la partager à ton audience… mais ton processus créatif est beaucoup trop compliqué. Trop d’étapes, trop de doutes, trop de frictions. Résultat : tu procrastines, tu te décourages, et ton idée reste bloquée dans ta tête (ou dans un brouillon inachevé)
Bat les steaks
La mentalité “bat les steaks”, c’est l’art de t’en foutre des petits détails futiles pour avancer plus vite, créer plus librement et surtout éviter de rester paralysé par le perfectionnisme.
Le créateur freestyle
Juice WRLD (RIP) était un rappeur US connu pour sa capacité exceptionnelle à freestyler pendant des heures sans préparation. Contrairement à la majorité des rappeurs qui écrivent leurs textes à l’avance, il improvisait ses morceaux en temps réel. La plupart de ses méga-hits ont été enregistrés en 1 ou 2 prises.
L’imperfection faisait partie de la musique de Juice. Personne ne le jugeait pour avoir fait une rime absurde ou pour avoir buté sur un mot. Son format était basé sur la spontanéité, pas sur la finition. Le public voulait de l’authentique, du brut, de l’émotion en direct. Pas un morceau poli, mais une création vivante.
En tant que créateur, tu peux adopter l’approche freestyle comme Juice WRLD : créer et publier rapidement, sans chercher la perfection, mais en misant sur ton authenticité. Si tu poses dès le départ ce cadre de contenu brut, régulier, sans filtre — ton audience comprend la règle du jeu.
ONE SHOT
Quand tu commences un contenu, tu le finis tout de suite. Pas de pause. Pas de “je terminerai plus tard”. Pas de retour en arrière pour peaufiner pendant des heures.
Chaque projet en cours devient une boucle ouverte dans ton esprit, qui te pompe de l’énergie mentale. Comme un logiciel ouvert en arrière-plan qui sature la RAM de ton cerveau. Plus tu laisses traîner, plus ça devient lourd.
Le One Shot t’évite cette prise de tête. Tu commences, tu termines, tu publies… puis tu oublies. Pas de dette mentale pour ton Toi Futur.
LE CHARISME BRUT
φ minia style Yomi